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L'ombre D'au Clair

  • : Au clair de la lyre
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Au clair de la lyre

   

 Photo027.jpg 

 

"Votre âme est un paysage choisi

Que vont charmant masques et bergamasques

Jouant du luth et dansant et quasi

Tristes sous leurs déguisements fantasques"


 

Paul Verlaine, Fêtes galantes.   

   

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               Bienvenue dans ce refuge littéraire,
               Toi, voyageur, explorateur ou simplement égaré,
               Des romans, des poèmes, des nouvelles, des chansons,
               Des auteurs, des chanteurs ou tous autres écrivains…
               Tu te trouves, ici, dans le coeur
               De ceux qui aiment, de ceux qui vivent
               Dans un autre univers, parallèle et nuageux.
               Un monde onirique, imaginaire, fantasmé
               Un espace crée pour continuer de rêver…

                                                

19 juin 2014 4 19 /06 /juin /2014 22:51

J'ai trop travaillé : retour aux fondamentaux...

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16 mai 2009 6 16 /05 /mai /2009 19:03




Téléphone, on ne s'en lasse pas. Cendrillon non plus. Vous trouverez une description de la chanson et de la composition du groupe sur le site vodpod. Cette chanson, parue en 1983 dans l'album Dure limite, écrite par Louis Bertignac, à bercée plusieurs générations d'adolescents. Encore aujourd'hui, on l'entend de temps en temps sur certaines radios. Elle est facile à retenir, pleine de sensibilité, bref, du grand Téléphone ! Juste à écouter et savourer...



Et les paroles : 

 Cendrillon pour ses vingt ans

  Est la plus jolie des enfants

  Son bel amant, le prince charmant

  La prend sur son cheval blanc

  Elle oublie le temps

  Dans son palais d'argent

  Pour ne pas voir qu'un nouveau jour se lève

  Elle ferme les yeux et dans ses rêves

  Elle part, jolie petite histoire (2x)


  Cendrillon pour ses trente ans

  Est la plus triste des mamans 

  Le prince charmant a foutu l'camp

  Avec la belle au bois dormant

  Elle a vu cent chevaux blanc

  Loin d'elle emmener ses enfants

  Elle commence à  boire

  A traîner dans les bars

  Emmitouflée dans son cafard

  Maintenant elle fait le trottoire

  Elle part, jolie petite histoire (2x) 


  Dix ans de cette vie ont suffit

  A la changer en junkie

  Et dans un sommeil infini

  Cendrillon voit finir sa vie

  Les lumières dansent

  Dans l'ambulance

  Mais elle tue sa dernière chance

  Tout ça n'a plus d'importance

  Elle part

  Fin de l'histoire


  Notre père qui êtes si vieux

  As-tu vraiment fais de ton mieux

  Car sur la terre et dans les cieux

  Tes anges n'aiment pas devenir vieux ... 


Et, pour le plaisir, numérisée par Google, ici, Ca se sent que c'est toi, chantée sur le plateau de l'émission Taratata le 1er décembre 2006 par le groupe Téléphone qui, l'espace d'une soirée (sans Corine la bassiste qui continue pourtant à sortir des albums sous son nom, Corine Marienneau) s'est reconstitué.

 

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19 janvier 2009 1 19 /01 /janvier /2009 12:16




On retrouve Patricia Kaas après de longues années d'absence avec un nouvel album très proche de l'ambiance cabaret qui a contribué à la faire connaître. Avec notamment ce titre, Mademoiselle chante le blues qui date d'avril 1987. Pour l'anecdote, elle aurait été découverte par Gérard Depardieu en 1985 qui lui aurait offert un titre, Jalouse, chanson écrite par Elisabeth Depardieu. Deux ans plus tard, Didier Barbelivien, lui écrit cette chanson qui aura le succès qu'on lui connaît et qui obtiendra également une Victoire de la musique. A noter aussi sa participation remarquable en mai 2002 au film de Claude Lelouch : And now... Ladies and gentlemen et sa reprise de la chanson de Barbara, L'Aigle noir, sortie en 2001 dont vous pourrez trouver les paroles ici.



 

Mademoiselle chante le blues

 


Y'en a qui élèvent des gosses au fond d'un H.L.M
Y'en a qui roulent leur bosse du Brésil en Ukraine
Y'en a qui font la noce du côté d'Angoulême
Et y'en a même qui militent dans la rue avec tracts et banderoles
Y'en a qui en peuvent plus de jouer les sex symbols
Y'en a qui vendent l'amour au fond de leur bagnole

Mademoiselle chante le blues
Soyez pas trop jalouses
Mademoiselle boit du rouge
Mademoiselle chante le blues

Y'en a huit heures par jour qui tapent sur des machines
Y'en a qui font la cour masculine, féminine
Y'en a qui lèchent les bottes comme on lèche des vitrines
Et y'en a même qui font du cinéma qu'on appelle Marilyn
Mais Marilyn Dubois s'ra jamais Norma Jean
Faut pas croire que l'talent c'est tout c'qu'on s'imagine


Mademoiselle chante le blues
Soyez pas trop jalouses
Mademoiselle boit du rouge
Mademoiselle chante le blues
Elle a du gospel dans la voix et elle y croit

Y'en a qui s'font bonne sœur, avocate, pharmacienne
Y'en a qui ont tout dit quand elles ont dit je t'aime
Y'en a qui sont vieilles filles du côté d'Angoulême
Y'en a même qui jouent femmes libérées
P'tit joint et gardénal qui mélangent vie en rose et image d'Epinal
qui veulent se faire du bien sans jamais se faire du mal

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22 novembre 2008 6 22 /11 /novembre /2008 19:05

 Un texte que j'adore, des images qu'il évoque. Chacun à les siennes, chacun interprète les mots avec son vécu, son histoire, ses rêves...

        

 




Mon dernier soldat

 

C'est son dernier soldat
du plomb et un seul bras
c'est sur ce bout de ferraille
que sa mémoire déraille
et quand il manque de temps
quand il manque de place
quand il manque les trains qui passent

il rejoint le soldat
et lui dit tout bas

toi, mon roi
sors de mon enfance
je veux que tu viennes
toi en moi
que tout recommence
je veux renaître en roi

c'est son dernier parent
le dernier qui l'entend
lorsqu'il se sent perdu
son regard tombe dessus

et quand il manque de courage
qu'il manque de raison
que les rêves de son âge s'en vont

il rejoint le soldat
et lui dit tout bas

toi, mon roi
sors de mon enfance
je veux que tu viennes
toi en moi
comme une évidence
je veux renaître
toi, mon roi
sors de mon enfance
j'ai tant besoin de
toi pour moi
dans mon existence
je cherche en vain

il rejoint le soldat
et lui dit tout bas

toi, mon roi
sors de mon enfance
je veux que tu viennes
toi en moi
comme une évidence
je veux renaître
toi, mon roi
sors de mon enfance
j'ai tant besoin de
toi pour moi
dans mon existence
je cherche en vain
un roi

 

Les Innocents.

 

   

 

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18 décembre 2007 2 18 /12 /décembre /2007 11:36
La sorcière et l’inquisiteur, une chanson que j’ai découverte au hasard des pistes d’un cd, ne peut que s’écouter. J’ajoute les paroles pour les adeptes du karaoké (pour ceux qui aiment l’interprétation, il y’a de quoi faire…) ! Catherine Ringer est encore une fois magnifique dans l’interprétation de ce titre à l’occasion des 16ème victoires de la musique le 17 février 2001 sur France 2.
Et, bien sûr, on lui souhaite beaucoup de courage  pour surmonter cette nouvelle épreuve de la vie… 




La sorcière et l'inquisiteur

Connaissez-vous
La chanteuse sorcière
Celle qui fit fondre
Un cœur de fer?
Celle qui transforma
Son tortionnaire
Le grand inquisiteur
Qui lui ouvrit son cœur

On pouvait la trouver dans la forêt
Les nuits de lune pleine
Où elle donnait
Des incroyables fêtes
Et toute nue elle chante

Et quand ça commence
Ça commence
Toute la forêt se met à parler
Née en transe
De par sa mère
La sorcière savait
Comment s'élever
Comment prier, comment soigner,
Empoisonner
Comment chanter
Et comment danser

Il arrivait dans la région
L'inquisiteur
C'était un homme passionné
L'inquisiteur
Il voulait sauver l'humanité
Pauvres pécheurs
De l'éternelle damnation
Alors attention

Ils sont venus la prendre la nuit
Ils l'ont traînée par la chevelure
Jusqu'à la chambre de torture

Ah son premier cri
Eveilla son oreille
Et la sorcière se mit à agir
Elle le fit
Elle s'ensorcelle
Et se mit à chanter
La suppliciée

Elle était belle
Et d'une blancheur laiteuse
On voyait qu'elle
Aimait être amoureuse
Et sa longue chevelure
Faisait comme une couverture
A peine un voile
Maintenant sale

- Ah! Tu m'assassines
- Sauve ton âme
- Ah mais tu commets un crime
- Pauvre femme
- Par ma voix chante la beauté
- Tu est endiablée, par ta bouche
C'est le diable qui accouche
Et tu voudrais bien que je te touche
D'ailleurs tu fais tout pour me plaire
Et on peut dire que tu sais y faire
- Non! C'est l'air qui vibre
Mais tu frissonnes
- Ah! Comme tu es libre
Et comme tu es bonne!

Le grand inquisiteur
Sentit battre son cœur
Le grand inquisiteur
Sentit fondre son cœur

Paroles: C.Ringer. Musique: F.Chichin   2000  "Cool Frénésie" 


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25 octobre 2007 4 25 /10 /octobre /2007 10:00
soleil2.gif
A mon fils qui s’obstine à vouloir croire au père-noël, à ne pas ranger sa chambre (« Et le père-noël, il va les mettre où, les jouets ? »), à ne pas grandir…à mon fils, ma plus grande raison de vivre.





cerfvolant2.gif                                                                             livre2.gif  

Je suis resté qu'un enfant qu'aurait grandi trop vite
Dans un monde en super-plastique
Je veux retrouver Maman
Qu'elle me raconte des histoires
De Jane et de Tarzan, de princesses et de cerf-volants
Je veux du soleil dans ma mémoire
Je veux du soleil, je veux du soleil, je veux du soleil, je veux du soleil   cendrillon.gif

Je veux traverser les océans, devenir Monte Cristo
Au clair de lune m'échapper de la citadelle
Je veux devenir roi des marécages
Sortir de ma cage
Un Père Noël pour Cendrillon sans escarpins
Je veux du soleil, je veux du soleil, je veux du soleil, je veux du soleil

Rien que du soleil

Je suis resté qu'un enfant qu'aurait grandi trop vite
Dans un monde en super-plastique
Je veux retrouver Maman
Qu'elle me raconte des histoires
De Jane et de Tarzan, de princesses et de cerf-volants        pere-noel.gif  
Je veux du soleil dans ma mémoire
Je veux du soleil, je veux du soleil, je veux du soleil, je veux du soleil

Rien que du soleil, je veux du soleil
Rien que du soleil, je veux du soleil
Rien que du soleil, je veux du soleil...
 

Paroles et Musique: Jamel Laroussi  


TN-12455-princesse.gif                                                        

                                                                        disney-tarzan-3.gif


                                                                                                     
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1 octobre 2007 1 01 /10 /octobre /2007 10:00
                        PatrickBruel2.jpg


Musique vieille de Patrick Bruel est une chanson peu connue que j’ai beaucoup aimée et que j’ai gardée en mémoire. Parue en 1986 dans l’album De face, La musique et les paroles de Gérard Presgurvic contribuent à donner à cette chanson une atmosphère unique, propice aux soirs de blues…
 
 
MUSIQUE VIEILLE
 
Vieille, c'est d' la musique vieille,
Je sais.
Chopin d' prisunic,
Mozart de bazar,
C'est d' la vieille musique,
Du blues bizarre.

Vieille, parce qu'il y a des soirs,
Tard,
Où l'on s' crève le cœur
De blessures mineures,
Où l'on s' fait la peau,
On sort son piano.

J' veux bien donner,
Mais faut qu'on m' donne.
Tu prends, tu donnes,
Mais y' a maldonne.
Tout c' que tu fais,
Un jour, s' défait
Et c'est comme ça qu' c'est.

Seul, qu'est-ce que j' me sens seul,
Tu sais.
Rien qu'un métronome.
Qui s' croit un cœur d'homme,
Rien qu'un mal de mère
Que j' peux pas faire.

Seul, parce que c'est comme ça
Tu vois.
Orgue de barbarigme,
S' quitter, c'est un crime.
Le chagrin qu' ça donne,
Personne se l' pardonne.

J' veux bien aimer
Mais faut qu'on m'aime.
J' t'adore, je t'aime,
Mais j' pars quand même.
Tout c' que tu m' dis,
J' l'ai déjà dit.
Et r'garde où j'en suis.

J'aime pas ma vie,
Pourtant j' la vis.
J'ai peur d' la mort,
Pourtant je sors.
J' préfère crever
Que d' plus rêver,
Même si c'est cauchemar.

Marre de tout,
Marre de vous.
J' vous aime tel'ment,
J' vous hais pourtant.
J' préfère crever
Que d' plus rêver,
Même si c'est cauchemar.

J' veux bien donner
Mais faut qu'on m' donne.
Tu prends, tu donnes,
Mais y' a maldonne.
Tout c' que tu fais,
Un jour, s' défait
Et c'est comme ça qu' c'est.

J' veux bien aimer
Mais faut qu'on m'aime.
J' t'adore, je t'aime
Mais j' pars quand même.
Tout c' que tu m' dis
J' l'ai déjà dis,
Et r'garde où j'en suis.



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30 août 2007 4 30 /08 /août /2007 13:03
Baudelaire-L-Etranger.jpg

Un magnifique poème de Baudelaire tiré du recueil Petits poèmes en prose publié pour la première fois en 1862. Une invitation au voyage et à la rêverie toujours d’actualité en ces temps peut-être un peu trop tournés vers le matérialisme .J’ai découvert ce texte en écoutant un cd de poèmes de Baudelaire interprétés par de nombreux chanteurs qui parviennent à redonner une nouvelle vie à tous ces textes. L’étranger, dont les paroles suivent, est extrait de cet album. Vous retrouverez ici une étude de ce poème.

 
   
 
                                                                   L’Etranger
                                                 
 
       - Qui aimes-tu le mieux, homme énigmatique, dis? Ton père, ta mère, ta soeur ou ton frère?
- Je n'ai ni père, ni mère, ni soeur, ni frère.
- Tes amis?
-Vous vous servez là d'une parole dont le sens m'est resté jusqu'à ce jour inconnu.
- Ta patrie?
- J'ignore sous quelle latitude elle est située.
- La beauté?
- Je l'aimerais volontiers, déesse et immortelle.
- L'or?
- Je le hais comme vous haïssez Dieu.
- Eh! Qu’aimes-tu donc, extraordinaire étranger?
- J'aime les nuages... les nuages qui passent... là-bas... là-bas... les merveilleux nuages! 


 
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16 mai 2007 3 16 /05 /mai /2007 10:14
 
                                                                 
 
       Puisque nous sommes ici sur un blog dédié, en partie, à la poésie, voici un petit clin d’œil à une chanson de Ridan qui passe régulièrement sur les ondes.
Celle-ci, comme le signale le co-auteur sur son site, est la reprise d’un poème de Du Bellay. Heureux qui, comme Ulysse…, poème xxxı, est extrait du recueil Les Regrets que le poète a écrit en 1558, à son retour de Rome. Vous pourrez aussi retrouver ce poème lu par Gérard Philipe sur le site Vive Voix du Wheaton College.
      Ridan a ajouté à ce sonnet deux refrains de 7 vers qui, étonnement, ne choquent pas malgré les quelques siècles d’écart.
      Et impossible de s’empêcher de siffloter avec l’auteur sur ce petit air entraînant (créé par Ridan et Alain Félix) qui s’accorde très bien avec les paroles.
 
            

 
 
  « Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage,
  Ou comme cestui-là qui conquit la toison,
  Et puis est retourné, plein d'usage et raison,
  Vivre entre ses parents le reste de son âge !

  Quand reverrai-je, hélas, de mon petit village,
  Fumer la cheminée et en quelle saison

  Mais quand reverrai-je, de mon petit village, fumer la cheminée et en quelle saison,
  Mais quand reverrai-je ? 

  Reverrai-je le clos de ma pauvre maison
  Qui m'est une province, et beaucoup davantage ?

  Plus me plaît le séjour qu'ont bâti mes aïeux,
  Que des palais Romains le front audacieux,
  Plus que le marbre dur me plaît l'ardoise fine,

  Plus mon Loire Gaulois, que le Tibre latin,
  Plus mon petit Liré, que le mont Palatin, Et plus que l'air marin la douceur  angevine.

  Mais quand reverrai-je, de mon petit village, fumer la cheminée et en quelle  saison,
  Mais quand reverrai-je ?

  J'ai traversé les mers à la force de mes bras,
  Seul contre les Dieux, perdu dans les marais
  Retranché dans une cale, et mes vieux tympans percés,
  Pour ne plus jamais entendre les sirènes et leurs voix.

  Nos vies sont une guerre où il ne tient qu'à nous
  De nous soucier de nos sorts, de trouver le bon choix,
  De nous méfier de nos pas, et de toute cette eau qui dort,
  Qui pollue nos chemins, soit disant pavés d'or. »
 
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14 mars 2006 2 14 /03 /mars /2006 10:25
                                          
 


En 1978, Michel Berger remarque Daniel Balavoine et lui propose d’interpréter Johnny Rockfort dans la comédie musicale Starmania. Il y chantera trois chansons, « Quand on arrive en ville », « Petite Musique terrienne » et « SOS d’un terrien en détresse » dont voici les paroles :
 
 Pourquoi je vis, pourquoi je meurs
Pourquoi je ris, pourquoi je pleure
Voici le S.O.S
D'un terrien en détresse
J'ai jamais eu les pieds sur Terre
J'aim'rais mieux être un oiseau
J'suis mal dans ma peau

J'voudrais voir le monde à l'envers
Si jamais c'était plus beau
Plus beau vu d'en haut
D'en haut
J'ai toujours confondu la vie
Avec les bandes dessinées
J'ai comme des envies de métamorphose
Je sens quelque chose
Qui m'attire
Qui m'attire
Qui m'attire vers le haut

Au grand loto de l'univers
J'ai pas tiré l'bon numéro
J'suis mal dans ma peau
J'ai pas envie d'être un robot
Métro boulot dodo

Pourquoi je vis, pourquoi je meurs
Pourquoi je crie, pourquoi je pleure
Je crois capter des ondes
Venues d'un autre monde
J'ai jamais eu les pieds sur Terre
J'aim'rais mieux être un oiseau
J'suis mal dans ma peau

J'voudrais voir le monde à l'envers
J'aim'rais mieux être un oiseau
Dodo l'enfant do.
 
Paroles de Luc Plamondon et musique de Michel Berger.
 
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